top of page

 

21st November, 5:00PM

Salle G209  Bâtiment Stendhal  Université Grenoble Alpes

 

 

IMG_20191121_182516.jpg

Dr Jean- Louis Edogue Ntang

​

​

Biography

Biographie de Jean-Louis Edogué Ntang , doctorant en anthropologie, Université Rennes 2

 

Part du Cameroun le 1er Janvier 2005 par voie terrestre et traverse le Nigéria, le Niger, L’Algérie, et arrive au Maroc en Novembre 2005.

 

De 2008-2010, il est  chercheur vacataire au centre Jacques Berques de Rabat, qui est un Institut français de recherche à l’étranger (IFRE)

 

Jean-Louis Edogue  arrive en France en 2010 et intègre l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales de Paris.

2010 à 2016, il étudie à l’Ehess de Paris,  et valide un Master 2 en anthropologie

2013 : Sous la direction de Michel Agier il valide le Mémoire de Diplôme de l’EHESS.

2016 à 2018, période d’errance entre le Sud de la France  et Paris.

Septembre 2018, il commence un doctorat en anthropologie à l’Université de Rennes 2   ( laboratoire interdisciplinaire de recherche en innovations sociétales (LiRiS)

 

 

Auteur de plusieurs articles individuels :

2008 : « Intégration des subsahariens au Maroc par le travail informel », in Les cahiers de l’association pour la taxation des transactions financières et pour l’action citoyenne au Maroc (ATTAC), Paris .

2010 : « Lieux invisibles », in Traverse (publications du lycée Descartes-Rabat) Rabat, Maroc.

 

Ouvrages collectifs : 

Novembre 2008, avec Michel Peraldi :  « La condition migrante » , in La pensée du Midi, Désirs de guerre Espoirs de paix, Actes Sud,  Marseille,

 

2011 : « Un ancrage discret. L’établissement des  migrations sub-sahariennes dans la capitale marocaine », (troisième version), in Salvatore Palidda (ed.) Migrations critiques. Repenser les migrations comme mobilités humaines en Méditerranée,  Karthala, Paris.

 

2011 : « Un ancrage discret. Etablissement des migrations sub-sahariennes dans la capitale marocaine », (première version) in Michel Peraldi   (dir) D’une Afrique à l’autre,  Karthala, Paris .

 

2014 : « L'empreinte de la souillure dans les campements près de la frontière, Belyounech (Maroc) », in Michel Agier (dir) Un Monde de Camps, La Découverte, Paris.

(sélectionné par le groupe histoire- géographie du ministère  de l’Education Nationale français pour l’année 2017-18, dans le programme de l’option internationale du baccalauréat marocain, et inscrit au programme de géographie de classe de terminale L/ES dans la rubrique Mondialisation et dynamiques géographiques des territoires)

Comment les migrant.e.s inscrivent-ils/elles l’Afrique dans le monde ?

 

​

 =>Le Maroc peut-il être un horizon de tous les possibles ?

​

=> Comment les migrations œuvrent-elles à inscrire l’Afrique dans le monde et à quelle(s) échelle(s) ?

​

 

  1- Pourquoi le Maroc ?

Le Maroc a toujours été défini comme pays de transit et de passage vers l’Europe pour les migrations subsahariennes.

Peut-on comprendre le Maroc comme un espace de mobilité transnationale à l’échelle du continent africain au moment où on assiste à des réorientations des flux de migrants inter-Etats africains ?  

​

​

  2- Les circulations migratoires africaines

​

En s’inscrivant ici et là en Afrique, les migrations subsahariennes participent à une forme de diplomatie parallèle à travers les multiples débats,  sommets, réajustements qu’elles suscitent autour d’elles à l’intérieur même du continent Africain et au-delà.

​

​

  3- Quelques exemples

​

Quelques exemples de migrants dont la construction individuelle de soi va se révéler dans les mondes militants, dans la recherche sociale au Maroc, ce qui va leur permettre d’augmenter leur capital culturel, politique et économique. Fort de toutes ces énergies comment œuvrent-ils à l’inscription de l’Afrique dans le monde ?

bottom of page